NéoTerr’Happy et l’approche géobiologique : comment appréhender l'influence de l'environnement sur le vivant
Origine du mot Géobiologie
Etymologiquement, le mot Géobiologie tire son origine du grec ancien :
- gê, qui signifie Terre,
- bios, qui signifie vie,
- logos, qui signifie discours, science.
Ce qui donne la signification : science de la vie sur Terre.
Qu’est-ce que la géobiologie ?
Notre environnement terrestre a une influence sur la vie et la santé des êtres vivants, et il peut être source de nuisances. Il agit sur nous sans que nous en ayons ou en prenions conscience la plupart du temps.
Les Anciens connaissaient ces phénomènes et y prêtaient attention.
Les courants telluriques, la nature du sous-sol, l'activité solaire, les phases de la lune, les saisons, la météorologie ou le volcanisme sont autant d'éléments qui occasionnent des modifications dans la configuration du champ énergétique de la Terre. Ces éléments viennent nous perturber à notre insu, demeurant totalement invisibles à nos sens usuels mais responsables de nombreux mal-être.
La géobiologie est la discipline qui permet d’appréhender l’influence du lieu de vie sur l’équilibre biologique humain, animal et végétal. Elle traite des relations de l’environnement, des constructions et du mode de vie avec le vivant.
La géobiologie, une discipline ancestrale dont la pratique remonte à l’Antiquité
La géobiologie est l'équivalent occidental du Vastu Shastra issu de la tradition indienne et du Feng Shui chinois, tous deux arts ancestraux multimillénaires.
Elle est la survivance de connaissances certaines utilisées par les peuples celtes très longtemps avant notre ère.
Le premier écrit occidental concernant la géobiologie est le fait du grec Hippocrate (460-377 av. J.-C.), père de la médecine naturelle, auteur du fameux serment d’Hippocrate. Il précise dans son traité Des airs, des eaux, des lieux :
« Celui qui veut se perfectionner dans l’art de guérir considérera comment l’endroit est disposé et s’informera du sous-sol, concurremment avec la constitution des êtres vivants ».
Sun Simiao (581-682 ap. J-.C.), l’équivalent chinois d’Hippocrate, auteur du serment de l’éthique médicale chinoise, souligne à son tour :
« Un bon médecin se doit non seulement d’examiner le patient, mais également son environnement direct et indirect. Nombre de maladies, dont les plus difficiles à soigner, sont liées aux perturbations du terrain et de l’habitat ».
L’architecte et ingénieur romain Vitruve (70-25 av. J.-C.), indique dans son traité Les dix livres d’architecture, l’intérêt de bien connaître les lieux avant d’y implanter une maison ou une ville :
« Quand on veut bâtir une ville, la première chose qu’il faut faire est de choisir un lieu sain ».
Pour cela, les romains utilisaient des animaux, généralement des moutons, qu’ils plaçaient sur le lieu afin de pouvoir les observer des semaines durant, avant de les sacrifier pour les autopsier et rechercher d’éventuelles anomalies sur leurs viscères : l'haruspicine. Les résultats étaient ensuite pris en compte pour valider ou pas l’implantation des maisons ou des villes. Ils savaient donc que le sol recelait des bienfaits, mais qu’il pouvait également nuire au vivant et à l'humain.
Ils considéraient aussi que la terre, à l’image du corps humain, regorgeait de points d'acupuncture (ou de force ou d'énergie), et que l'on pouvait donc intervenir sur une construction ou un terrain de la même façon que sur nos corps physique et énergétiques.
Les romains non seulement maîtrisaient la recherche de l'eau, mais savaient trouver des sources qui soignaient le corps humain. C’est d’ailleurs par eux que la plupart de nos sources thermales actuelles ont été découvertes.
Ces différentes techniques ont ensuite peu évolué, hormis sur la conceptualisation et la normalisation de tracés régulateurs et procédés d’édification reprenant les bases des monuments antiques. Elles nous ont permis au Moyen-Age d’élever nos cathédrales, conçues alors comme de véritables amplificateurs et outils de soin énergétiques, en lien ou non avec l'expression de la foi à cette époque.
Les prémices d’une géobiologie moderne
En France, au début du XXème siècle, ce sont des prêtres catholiques, l'abbé Bouly et l'abbé Mermet, qui font évoluer la géobiologie.
En 1925, l’ingénieur français d’origine russe Georges Lakhovsky, réalise une étude sur Paris et le département de la Seine, faisant ressortir un taux de mortalité élevé dû au cancer en correspondance avec la nature géologique du sous-sol.
Ce sont ensuite principalement des médecins qui apportent leur contribution au fondement de cette discipline, tels le Docteur Peyré, qui en 1937 fait une communication à l'Académie des Sciences au sujet de sa découverte d'un réseau de rayonnements Nord-Sud et Est-Ouest venant de la Terre, qu’il appellera le réseau Peyré, et qui semble être en lien avec les pathologies humaines, notamment le cancer.
Considéré comme l’un des pionniers de la géobiologie moderne, le Docteur allemand Ernst Hartmann, confronté à des patients plus ou moins résistants à différents traitements, décide d’analyser l’emplacement de leur lit. Il constate alors que le fait de placer ce dernier sur une zone non perturbée pour soustraire les patients aux ondes nocives entraîne de façon significative des améliorations, voire des guérisons spontanées. En 1950, il met en évidence avec l’aide de son frère un réseau tellurique orienté Nord-Sud auquel il donne son nom.
Il est suivi en 1952 par le scientifique et inventeur Manfred Curry, médecin allemand spécialisé en bioclimatique, et Siegfried Wittman, qui découvrent un réseau tellurique diagonal orienté à 45° appelé réseau Curry.
Le physicien allemand Reinhard Schneider a introduit dans les années cinquante le concept de la baguette-antenne pour détecter les rayonnements issus de l’environnement. Basé sur la théorie des fils métalliques parallèles du physicien autrichien Ernst Lecher, l’outil qui en découle porte le nom d’antenne de Lecher. Chaque phénomène recherché (veine d’eau, faille, réseau tellurique, minerai, etc.) est caractérisé par une longueur d’onde spécifique qu’il y a lieu de repérer sur la règle graduée de l’antenne avant de procéder à sa détection.
Ce regard bref sur les origines de la géobiologie met en avant une quête intemporelle à créer une harmonie entre le lieu, la construction et l’être vivant, motivée par la relation existante entre la santé et l’habitat.
La géobiologie de nos jours
Notre mode de vie actuel ouvre les portes à des technologies toujours plus novatrices et performantes.
Les émissions d’ondes qu’elles génèrent sont en constante augmentation depuis ces quarante dernières années, tant en intensité qu’en diversité. On peut parler aujourd’hui d’un véritable « brouillard électromagnétique artificiel » enveloppant la planète.
A cela viennent s’ajouter les produits chimiques de la vie quotidienne qui sont bien trop souvent toxiques, et qu’il est impératif de prendre en compte.
NéoTerr’Happy, une approche contemporaine de la géobiologie ponctuée de savoir-faire ancestraux
A l'origine, le champ d’action de la géobiologie repose principalement sur une détection sensitive et biosensible des rayonnements cosmo-telluriques et autres éléments inhérents à la biosphère énergétique, avec pour objectif d’en neutraliser les effets délétères sur les êtres vivants.
Sont ainsi concernés :
• les phénomènes d’ordre naturel : failles géologiques et discontinuités du sous-sol (émission de rayons gamma), eau souterraine, filons métallifères, cavités souterraines, gaz radioactif…
• les phénomènes géobiologiques : réseaux cosmo-telluriques (Peyré, Hartmann, Curry-Wittmann, grand réseau diagonal, réseau sacré, etc.), cheminées cosmo-telluriques, vortex cosmo-telluriques…
• l’architecture : formes, volumes, proportions et rapports harmoniques, géométrie, détails architecturaux, matériaux de construction…
• les phénomènes particuliers : vécu ou mémoire d’un lieu ou d’un objet, ambiance légère ou lourde chargée d’émotions…
NéoTerr’Happy et la prise en compte des nouvelles technologies dans le cadre d’une intervention en géobiologie
Aujourd’hui, il existe une multitude d’autres facteurs inhérents aux nouvelles technologies, susceptibles d’agir sur l’habitat ou sur le lieu de travail, et que la géobiologie sait prendre en compte. Ils sont pour la plupart mesurables avec des instruments scientifiques dédiés étalonnés.
On compte parmi les facteurs les plus répandus :
• les champs électromagnétiques artificiels : basse fréquence, hyperfréquences, électricité « sale » (CPL, Linky, HFT), tension induite corporelle…
• les interactions environnementales : qualité de l’air extérieur (pesticides, fumées d’usines et d’incinérateurs, particules fines et ultrafines, etc.), qualité de l’air intérieur (COV dont le formaldéhyde, moisissures, radon, monoxyde de carbone, fumées de cheminées ou de poêles, etc.), pollution de l’eau (métaux lourds, pesticides, résidus médicamenteux, minéraux, etc.)…
• les ambiances sonores : toute forme de bruit en provenance de l’intérieur (VMC, pompes à chaleur, climatiseurs, etc.) ou de l’environnement extérieur (trafic routier, trafic aérien, trafic ferroviaire, éoliennes, voisinage, etc.), mauvaise acoustique (propagation de vibrations, ultrasons / infrasons)…
Une nuisance est souvent le résultat d’une association de plusieurs de ces facteurs qui interagissent entre eux.
Faire appel à NéoTerr’Happy pour une étude géobiologique
De par sa constitution et son équilibre uniques, chaque être vivant possède une perception des phénomènes énoncés ci-dessus qui lui est propre.
Ainsi, sur un même lieu et au même moment, une personne ne ressentira rien d’anormal pendant qu’une autre pourra éprouver des désagréments. A l’image de cette dernière, nombreuses sont celles qui souffrent de mal-être général, de troubles de l’humeur, de maladies chroniques, de troubles du sommeil, d’affaiblissement immunitaire, etc., avec toutes les conséquences que cela peut entraîner à long terme.
Si on estime que le lieu de vie ou de travail peut être la cause des difficultés ou des problèmes de santé que l’on rencontre, il est vivement recommandé de faire appel à un géobiologue.
NéoTerr’Happy, par ses actions de conseil en habitat sain et en bioenvironnement, est également en mesure d’intervenir préventivement lors de l’achat d’un terrain à bâtir ou d’une propriété, ou encore par simple principe de précaution.
Après avoir déterminé les caractéristiques du lieu, NéoTerr’Happy est à même de vous proposer des axes d’améliorations. En règle générale, de simples recommandations de prudence, ou la suppression d’une exposition de longue durée à des facteurs environnementaux considérés comme perturbateurs, suffit à assurer une diminution des troubles de la santé et une amélioration de la qualité de vie.
Déroulé d’une prestation en géobiologie mise en œuvre par NéoTerr’Happy
Dans le cadre de sa prestation de service en géobiologie, NéoTerr’Happy applique le protocole suivant :
1. Collecte de renseignements auprès du demandeur (échange par téléphone, par mail, par courrier ou en présentiel),
2. Pré-étude sur plans et photos pour estimation de l’intervention et établissement d’un devis,
3. Après acceptation du devis, étude sur plan et ébauche du projet d’harmonisation,
4. Intervention sur site pour la mise en œuvre des corrections et de l’harmonisation prévues, avec tests de contrôle au fur et à mesure de l’avancement, et protocole de contrôle final. Concerne les ondes artificielles pathogènes, les phénomènes particuliers, les courants d’eau et failles problématiques, les inadéquations de forme, et l’harmonisation proprement parlant,
5. Visite de contrôle après au minimum une lunaison dans le cadre du SAV.
Zone géographique d’intervention de NéoTerr’Happy pour une prestation en géobiologie
Les secteurs géographiques privilégiés par NéoTerr’Happy sont les départements de la Vendée (85), de la Loire-Atlantique (44), du Maine-et-Loire(49), des Deux-Sèvres (79) et de la Charente-Maritime (17).
L’intervention dans les départements du Morbihan (56), de l’Ille-et-Vilaine (35), de la Mayenne (53), de la Sarthe (72), de l’Indre-et-Loire (37), de l’Indre (36), de la Vienne (86), de la Haute-Vienne (87), de la Dordogne (24), de la Charente (16) et de la Gironde (33) reste néanmoins possible sous certaines conditions liées à l’éloignement géographique.